"Je ne perds jamais !
Soit je gagne, soit j'apprends"
- Nelson Mandela -
MES FORMATIONS
QUELQUES MOMENTS DE VIE...
Au service des autres...
Après mon service militaire (eh oui, ça existait encore) et quelques errances professionnelles, je deviens sapeur-pompier professionnel en 1997.
J’avais entamé ce chemin en tant que bénévole en intégrant la Protection Civile des Hauts de Seine en 1991 et la SNSM de Paris en 1992.
Je démarre ma carrière en tant que sapeur à Argenteuil (95), une unité qui à forte sollicitation opérationnelle dans un secteur plutôt populaire et fortement urbanisé.
Je vais y passer 10 ans, de sapeur à sous-officier de garde avant de devenir officier en 2008.
Le camion ventilateur de la photo a une histoire : c’est ma première leçon de responsabilité. Ayant mal attaché la remorque lors d’un départ pour feu de parking sous-terrain, celle-ci s’est décrochée et a percuté l’arrière de notre véhicule.
Pas de blessés, mais des dépenses. Les erreurs, ça coûte !
La plongée, un métier passion...
Je rencontre le monde sous-marin en 1988, j’ai 14 ans, avec le film Le Grand Bleu de Luc Besson. C’est la naissance d’un rêve : devenir plongeur.
Lorsque je prends mes fonctions de sapeur-pompier à Argenteuil (95), je suis déjà nageur-sauveteur. Le chef de centre, qui manque de plongeurs dans son unité subaquatique, me reçoit dans son bureau.
Il me dit : “la plongée, ça vous intéresse ?”... A cette époque, je n’ose pas répondre que j’ai peur de plonger dans les eaux sombres et froides pour récupérer des corps disparus, alors j’hésite à répondre. Il enchaîne en me disant : “bah moi, ça m’intéresse !”.
Voilà comment, avec quelques secondes d’hésitation et un chef déterminé, je vais passer des années exceptionnelles.
J’aurais cependant un deuil à faire de cette spécialité, pour des raisons d’avancement et de santé. Dure moment à passer pour en accueillir d’autres.
Bac -2 à Master 2...
Ahhh les études, vaste sujet ! Je vais quitter l’école en première, avant même les épreuves du bac. Aujourd’hui, je sais à quel point j’avais peur d’affronter ces épreuves, persuadé de ne pas être capable et déjà redoublant deux fois.
En 2008, voulant devenir officier, je m’inscris au Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires (DAEU) et je rencontre des enseignants passionnés et engagés pour aider tout type d’élèves à avancer vers leurs objectifs.
Je suis focalisé sur les contenus, j’en oublie les examens. Je me passionne pour tous les apports, de français, d’histoire et géographie et même d’anglais.
A partir de là, apprendre est une passion et j’enchaine les formations : licence, master sciences de l’éducation, DU prévention des risques psychosociaux, coaching de managers et d’équipe.
Apprendre, c’est une ouverture vers le monde, vers la liberté !
Capitaine, le virage...
Je vais rester dix ans lieutenant, pas parce que je le veux, mais parce que j’échoue pendant trois ans au concours de capitaine.
Je crois que parce que j’ai repris des études, je mérite… Je suis déjà sur un poste de capitaine, ils vont me choisir… Le concours est une formalité…
Je suis sur un mode “s’il vous plaît, donnez moi le concours parce que je suis super sympa et motivé”.
Quelle innocence dans mon approche !
L’année de la réussite, la bascule s’est opérée. J’assume qui je suis, le projet que je défends, ce que je sais, ce que je ne sais pas.
Je sors du cadre du concours en adoptant une stratégie presque marketing : j’ai la solution à ce problème.
Ma victoire à cette épreuve, ce n’est pas la nomination, c’est le dépassement de cette épreuve.
L'accompagnement...
L’accompagnement s’est invité dans ma vie personnelle et professionnelle.
Sur le plan privé, les événements de la vie m’ont amené à démarrer un travail thérapeutique qui va durer plusieurs années, par épisode, sur différents sujets.
Dans mes fonctions de manager, j’ai été accompagné, notamment pendant mes études dans de nombreux dispositifs d’analyse des pratiques professionnelles.
Depuis plus de dix ans, j’accompagne les formateurs à l’adoption d’une posture d'accompagnateur pour qu’ils comprennent qu’ils sont au service des stagiaires dans l’acquisition des connaissances et le développement des compétences.
Être à côté de l’autre, lui permettre de prendre appui sur ce qu’il est, sans le juger, avancer à son rythme, c’est extrêmement puissant pour les personnes.
Et contribuer à la réussite des autres, c’est un cadeau que l’on se fait à soi-même, à chaque fois.
Coach - préparateur mental...
Dans mon parcours de formateur, le coaching est l’étape ultime.
Quand j’étais formateur, j’étais le garant d’une discipline à transmettre. Il fallait que je sois bon techniquement, pédagogiquement, et que je fasse mon maximum pour que les stagiaires sachent faire ce pourquoi ils étaient en stage.
Mon approche, centrée sur l’humain en situation d’apprentissage, m’a appris, au fil du temps, à me décentrer de moi et de mes connaissances, pour s’intéresser à lui (ou elle).
Aujourd’hui, j’ai compris à quel point les personnes disposent de bien plus de capacités que ce qu’elles veulent bien croire elles-mêmes. Et mon rôle est de les aider à cette prise de conscience le plus rapidement possible, pour qu’elles puissent développer elles-même leur propre potentiel.
Le coaching est la préparation mentale sont alors de puissants leviers pour permettre aux personnes de se révéler, à leur rythme et dans le respect de leurs projets.
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